Discussion:Paradoxe de la flèche

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En fait, ce paradoxe est lié avant tout à la divisibilité de l'espace... Donc cet article est erroné en plus d'être anachronique (la vitesse instantanée...).

Pas de rapport avec la quantique[modifier le code]

Je ne vois pas ce que la physique quantique viendrait faire là dedans ... Le paradoxe de Zénon est purement classique, voire purement mathématique, dans le sens où il découle de notre manque d'intuition par rapport à l'infini et aux "infinitésimaux", et à l'analyse de manière générale.

Pour ce qui est du rapport entre Zénon et la quantique :

- il n'y a pas de paradoxe à proprement parler, seulement un phénomène contre-intuitif

- je ne vois pas ce que le principe d'incertitude viendrait faire ici

- les unités de Planck ? ça ne veut rien dire dans ce contexte, et renvoie à un système d'unité (qui est une convention sur la valeur que l'on donne aux constantes fondamentales, donc ne peut en rien résoudre quelque paradoxe)

- "la stabilité de la relation entre énergie, espace et temps" ? qu'est ce que ça veut dire ?

- le problème du point final en mécanique lagrangienne ? à ma connaissance il n'a rien à faire avec Zénon, et c'est plutôt un tricks formel qu'un véritable problème (les équations de Lagrange ont au moins le même pouvoir explicatif, si ce n'est plus que la formulation newtonienne)

- et le rapport maladroit avec le paradoxe de Zénon quantique, nommé ainsi pour la référence puisqu'un grand nombre de mesures sont faites sur un temps court... C'est juste une conséquence du fait que l'observation influe sur le système en quantique, et ne devrait pas pouvoir donner d'"insights" sur le paradoxe de la flèche (classique)

- le passage avec la flèche du temps aussi, toujours aucun lien avec Zénon — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 31.10.165.215 (discuter), le 12 mars 2020 à 00:17 (CET)[répondre]

Je suis parfaitement d'accord.
Olivier Dusong (discuter) 22 octobre 2023 à 12:50 (CEST)[répondre]
Bonsoir
Tout d'abord, merci d'avoir partagé vos commentaires et votre analyse. Après avoir pris en considération vos remarques, je suis d'accord avec votre point de vue selon lequel ces sections semblent hors sujet par rapport au paradoxe de Zénon. Il est clair que le paradoxe de Zénon est un problème classique et purement mathématique, comme vous l'avez souligné. Les aspects liés à la physique quantique, au principe d'incertitude, à la stabilité des relations entre énergie, espace et temps, et aux unités de Planck semblent ne pas avoir de rapport direct avec le sujet.
Je tiens à vous informer que je prévois de supprimer ces sections qui ont été ajoutées il y a plusieurs années, mais qui n'ont pas reçu de réponse ou de justification satisfaisante depuis lors. Mon objectif est de maintenir la cohérence de la page en me concentrant sur les aspects pertinents du paradoxe de Zénon, qui est essentiellement un problème mathématique et conceptuel de la Grèce antique.
Si vous avez d'autres commentaires ou suggestions concernant la page, je serais ravi de les entendre, en particulier si vous pensez qu'il y a d'autres aspects qui ne sont pas appropriés pour l'article.
Encore une fois, merci pour votre engagement et vos précieuses contributions à Wikipedia.
Cordialement, Olivier Dusong (discuter) 25 octobre 2023 à 00:44 (CEST)[répondre]

Identification des éléments hors sujet dans l'article sur le paradoxe de la flèche et proposition de corrections[modifier le code]

Chers modérateurs et contributeurs de Wikipedia,

Sous la rubrique "remarque" de l'article concernant le paradoxe de la flèche, il est suggéré que l'utilisation des unités de Planck et le principe de moindre action pourraient aider à résoudre ou à contourner ce paradoxe. Toutefois, je tiens à souligner que ces concepts, bien qu'essentiels à la physique, ne traitent pas directement de la question centrale du paradoxe de la flèche, à savoir le statisme du présent.

Le paradoxe de la flèche, tel que formulé par Zénon, se penche sur la nature statique de chaque instant individuel. Si chaque moment est, par définition, "statique" et sans durée, comment le mouvement est-il possible? L'introduction des unités de Planck, bien qu'elles soient pertinentes dans les discussions sur les échelles quantiques, n'abordent pas la question fondamentale du temps sans durée posée par le paradoxe. De même, le principe de moindre action, malgré son importance en mécanique lagrangienne, opère en présupposant l'existence de durées et de trajectoires continues. Ici aussi nous sommes hors sujet puisque il n’y a aucune durée possible. La partie sur le principe d’incertitude est également relatif au mouvement et est donc également hors sujet.

Il est crucial, lors de l'exploration de ce paradoxe, de rester fidèle à sa définition initiale et à la question qu'il pose. Mélanger des concepts qui opèrent sur la base de durées avec un paradoxe qui remet en question la nature même de ces durées pourrait prêter à confusion pour les lecteurs. Il serait judicieux, à mon avis, de ne pas mélanger des choses qui n’ont aucun rapport avec notre sujet.

Je tiens à souligner qu’un commentaires similaires a déjà été soumis il y a trois ans, indiquant ces mêmes choses. Malheureusement, il semble qu'il n'y ait pas eu de réponse ni de modification apportée à cet égard. Cela devient de plus en plus urgent, car ces erreurs persistent dans l'article depuis trop longtemps. Je propose de réviser ces parties de l'article pour les rendre plus fidèles à la nature du paradoxe de la flèche de Zénon. Ces éléments qui induisent le lecteur en erreur en confondant des sujets distincts devraient être supprimés pour préserver l'exactitude de l'article.

J'encourage la communauté à discuter de ces points et à réfléchir à la façon dont nous pouvons améliorer la qualité de l'article dans les 15 prochains jours. Si aucune action n'est entreprise pour corriger ces erreurs, je me permettrai d'apporter les modifications nécessaires pour garantir la précision de l'article.

Cordialement,

Olivier Dusong (discuter) 22 octobre 2023 à 12:57 (CEST)[répondre]

Retrait de la mention de la "quantité de mouvement" concernant le paradoxe de la flèche de Zénon[modifier le code]

Suite à une relecture attentive de l'article sur le paradoxe de la flèche de Zénon, j'ai retiré la phrase suivante :

"La physique classique, et en particulier la mécanique analytique, a répondu à ces interrogations en introduisant le concept de quantité de mouvement." La principale raison de cette modification est que cette assertion n'était pas soutenue par une source. De plus, le paradoxe de la flèche de Zénon met l'accent sur l'impossibilité apparente du mouvement, suggérant que, dans chaque instant de temps, la flèche est immobile. La mention de la quantité de mouvement semble donc inappropriée et hors sujet dans ce contexte.

Je suis ouvert(e) à la discussion si quelqu'un pense que cette phrase devrait être réintégrée avec des modifications ou si une source pertinente est trouvée. Merci de votre compréhension.

Olivier Dusong (discuter) 25 octobre 2023 à 08:08 (CEST)[répondre]

Discussion sur les modifications récentes de la page[modifier le code]

Chers contributeurs,

Je souhaite entamer une discussion afin de partager et discuter des améliorations récemment apportées à la page concernant ces paradoxes de Zénon. Ces ajouts visent à clarifier certains aspects des paradoxes. Je vous invite à prendre connaissance des modifications effectuées et à partager vos avis, commentaires, et suggestions. Vos contributions sont essentielles pour maintenir l'excellence de l'article futur et pour explorer les différentes perspectives concernant les paradoxes de Zénon. N'hésitez pas à participer et à exprimer vos idées. Votre expertise et vos connaissances seront grandement appréciées pour continuer à faire progresser cet article. Merci de votre engagement dans l'amélioration de la qualité de notre contenu. Olivier Dusong (discuter) 25 octobre 2023 à 10:54 (CEST)[répondre]

Texte amélioré pour plus de clarté :
Considérons une flèche lancée. À chaque instant, la flèche se trouve à une position précise. Si le présent a une durée nulle, alors la flèche n'a pas de temps pour se déplacer et reste immobile pendant cet instant. Maintenant, pendant les instants suivants, elle va rester immobile pour la même raison. Si le temps est une succession d'instants nuls, comment l'addition d'une infinité de ces moments nuls pourrait donner lieu à un mouvement ? Ainsi, ce paradoxe pose la question : si à chaque instant le temps est arrêté, comment la flèche peut-elle avancer en dépit de l'expérience quotidienne ? Ici, nous devons concilier deux affirmations qui se confrontent :
  • La flèche étant immobile dans un temps nul, qui est l'instant présent. Une quantité infinie d'additions de moments nuls donnera toujours un temps nul, et donc un mouvement impossible.
  • Pourtant, en dépit du présent statique, le mouvement est apparent. Est-ce une illusion de nos sens ou une réalité ? Le temps lui-même pourrait être une illusion ?
Cela nous rappelle certaines théories scientifiques où le temps pourrait être une illusion, comme la théorie de l'univers bloc, ou d'autres théories qui suggèrent que nous vivons dans un hologramme, comme mentionné par Stephen Hawking.
Ce paradoxe traduit toute la difficulté conceptuelle liée à la notion de vitesse instantanée. Toute vitesse nécessite d'associer un déplacement à un intervalle de temps. Si un intervalle de temps est nul, il ne peut y avoir de déplacement, ce qui rend apparemment impossible le calcul d'une vitesse.
Au-delà de l’impossibilité de calculer la vitesse dans le moment statique du présent, ce paradoxe renferme de profondes interrogations physiques et métaphysiques sur la nature du mouvement. Qui n’ont pas reçu à ce jour d’explications définitives.
Considérons une flèche lancée. À chaque instant, la flèche se trouve à une position précise. Si le présent a une durée nulle, alors la flèche n'a pas de temps pour se déplacer et reste immobile pendant cet instant. Maintenant, pendant les instants suivants, elle va rester immobile pour la même raison. Si le temps est une succession d'instants nuls, comment l'addition d'une infinité de ces moments nuls pourrait donner lieu à un mouvement ? Ainsi, ce paradoxe pose la question : si à chaque instant le temps est arrêté, comment la flèche peut-elle avancer en dépit de l'expérience quotidienne ? Ici, nous devons concilier deux affirmations qui se confrontent :
  • La flèche étant immobile dans un temps nul, qui est l'instant présent. Une quantité infinie d'additions de moments nuls donnera toujours un temps nul, et donc un mouvement impossible.
  • Pourtant, en dépit du présent statique, le mouvement est apparent. Est-ce une illusion de nos sens ou une réalité ? Le temps lui-même pourrait être une illusion ?
Cela nous rappelle certaines théories scientifiques où le temps pourrait être une illusion, comme la théorie de l'univers bloc, ou d'autres théories qui suggèrent que nous vivons dans un hologramme, comme mentionné par Stephen Hawking.
Ce paradoxe traduit toute la difficulté conceptuelle liée à la notion de vitesse instantanée. Toute vitesse nécessite d'associer un déplacement à un intervalle de temps. Si un intervalle de temps est nul, il ne peut y avoir de déplacement, ce qui rend apparemment impossible le calcul d'une vitesse.
Au-delà de l’impossibilité de calculer la vitesse dans le moment statique du présent, ce paradoxe renferme de profondes interrogations physiques et métaphysiques sur la nature du mouvement. Qui n’ont pas reçu à ce jour d’explications définitives. Olivier Dusong (discuter) 25 octobre 2023 à 11:03 (CEST)[répondre]

Organisation des articles[modifier le code]

Actuellement, les paradoxes sont exposés (de manières différentes - avec des énoncés différents) dans 3 types de pages

Nous avons donc des risques de doublon, des développements contradictoires, et un problème de suivi. Il serait bon que les différents intervenants s'accordent pour savoir ce que l'on met dans chaque article.

=> Discussion sur Discussion:Paradoxes de Zénon#Organisation des articles. HB (discuter) 29 janvier 2024 à 08:55 (CET)[répondre]